A titre de consécration artistique mondiale : Susanne Strandänger remporte le Prix International Caravaggio à Milan

 

A titre de consécration et de reconnaissance à l’échelle mondiale, l’artiste peintre suédoise Susanne Strandänger a reçu dernièrement le Prix International Caravaggio « Inernational prize CARAVAGGIO- Great Master of Art» au Litta Théâtre à Milan, Carrie Italie , et ce dans le cadre d’ une journée célébrant la fête d’Ambrose ( le patron saint de la ville) : « C’est un le prix le plus prestigieux dans le monde d’art que j´ai gagné pendant mon carrière d’ artiste. Les grandes célébrités du monde culturel ont rehaussé par leur présence effective la cérémonie officielle au Litta Théâtre (un édifice plus ancien de style baroque milanais situé Corso Magenta à Milan.). C’est une fierté pour moi et pour la famille des artistes à la recherche de nouveauté et de création au sens plein du terme. », nous a confié l’artiste récipiendaire de ce prix notoire et crédible.
Susanne Strandänger (vit et travaille entre Marrakech et Stokholm) a exposé également des dessins et esquisses de la fiancée d’Anza inspirés de la culture amazigh ainsi que des peintures gigantesques sur des banderoles en Hollande au tire du projet novateur « INTE », tout en proposant une chorégraphie émouvante pour le plaisir de l’expression corporelle. Pour l’artiste, ce projet international multiculturel a abordé un sujet très important portant sur l’abondance de l’eau et ce via une vidéo inspirée des mythes amazighs intégrés sur scène théâtrale avec un show de danse et performances. Elle a travaillé également aux cotés d’un collectif d’artistes marocains, hollandais et allemands.
En vue de contribuer activement au développement et à la promotion des relations interculturelles entre le Maroc, la Suède et les pays scandinaves, Susanne Strandänger envisage l’ouverture de son espace galerie en 2020 ( rue Yougoslavie à Gueliz, Marrakech).

Sur le plan médiatique, Susanne Strandänger a accordé un nouveau passage journalistique pour la radio dont le titre est « Je suis courageuse ». Il s’agit d’une interview d’une demi-heure où elle relate avec passion son histoire de déménager seule au Maroc et de s’installer en tant que femme artiste à la quête de la vérité et de la lumière : un podcast pour inspirer les gens et les motiver davantage dans la réalisation de leurs rêves.

Il est à rappeler que l’artiste Susanne Strandänger a été sélectionnée dans le plus consistant livre d’art contemporain de genre : « Les meilleurs artistes modernes et contemporains » à l´Institut de la Culture Italienne à Vienne.
Un livre d’art ponctué des articles sur les plus grands maîtres du XX ème siècle (Jackson Pollock, Mark Rothko, Willem de Kooning, Pablo Picasso, Giorgio de Chirico, Salvador Dalí, Andy Warhol, Joan Miró, Paul Klee, Marc Chagall, Jasper Johns, Henri Matisse, Piet Mondrian, Modigliani, Marino Marini, Roy Lichtenstein, Edward Hopper, Franz Kline, Paul Cézanne, Lee Krasner) écrits par des figures majeures de la critique d’art à l’échelle mondiale . Ce livre de référence se veut la vitrine la plus illustrative pour admirer les grandes œuvres ancrées dans l’histoire. Le volume (21×28 cm) est entièrement pris en charge par deux grands connaisseurs d’art contemporain: Salvatore Russo et Francesco Saverio Russo. Le choix des artistes sélectionnés a été fait sur la base de la valeur stylistique de l’œuvre, ainsi qu’à la lumière de l’analyse de leur recherche artistique : « L’art contemporain a besoin de nouveaux maîtres. De nouvelles langues liées à la fois à la tradition et à la sémiotique informelle. Un volume qui relate le parcours des artistes figuratifs, abstraits, informels et conceptuels. Il deviendra la véritable bible de chaque conservateur, marchand, galeriste et directeur du monde des musées. La présentation officielle du volume d’art « Les meilleurs artistes modernes et contemporains » a eu lieu dernièrement à Vienne , précisément au Palais Sternberg, le bureau du Consulat Italien et de l’Institut de la Culture Italienne, et ce lors de la cérémonie de remise des artistes admis au projet éditorial en présence d’importantes autorités et artistes du monde entier. Une nomination exclusive de haute valeur.», a écrit Salvatore Russo et Francesco Saverio Russo.
Susanne Strandänger a remporté aussi le prix international de mérite dans le cadre de la manifestation artistique « le Women’s Art World» (WAW) à l’issue de la grande exposition organisée dernièrement au Musée de Marrakech.
Sur son acte pictural, elle nous a confié : « J’essaie de saisir la dimension apparente des temps perdus au-delà de toute reproduction imitatrice de la réalité observée ( Riads , scènes personnalisée, corps, femmes …). C’est un nouveau regard sur les temps porteurs naturels de ma « mémoire au Maroc» qui exprime la culture de la magie. Au Maroc, j’ai vécu plusieurs diversités qui m’ont donné une grande énergie. Il y a toujours des choses à découvrir. Je suis subjuguée par la beauté des paysages, le regard chaviré par la force des couleurs et des ombres portées par la puissance d’une lumière presque trop vive, se laisse conduire sans résistance sur des espaces vécus ou imaginatifs qui nous renvoient à l’histoire multicentenaire du lieu. Mon souci esthétique est de rende le paysage naturel ou urbain dans une ambiance chromatique personnalisée, tout en s’attachant à la rigueur, l’exigence et l’intégrité du sentiment. Ma démarche révèle l’innocence de la réalité à l’état brut en tant qu’une réserve inépuisable de l’être humain et de l’image. Il s’agit d’un acte créateur ancré fortement dans la mémoire, en dépit de son côté anecdotique.
Expressionniste de mon état, j’ai essayé à travers mes œuvres de rendre hommage au Maroc, sa magie sa splendeur. Mon travail plastique relève du Pop Art et de l’art onirique. Il incarne le passionnant et le laborieux chemin de la vie et de la créativité, et ce dans le cadre d’un projet reposant sur l’authenticité de l’art pictural d’ici et d’ailleurs. Hommage sublime à la vie voire le témoignage d’un passé vécu, ma peinture est un acte de réminiscence et souvenance, enfoui dans un imaginaire qui est demeuré rebelle à l’effacement et à l’oubli.». Et d’ajouter : « Chez moi, la référence à l’imaginaire est toujours mise en valeur d’une façon synthétique et bien élaborée. C’est un appel des âmes vivantes animé par les scènes cinétiques de l’enfance. Mon parcours d’artiste chercheur selon les critiques d`´art à démarré dans les sillages des peintres étrangers de renom. Quand j´ai quitté les sentiers de la pratique juridique, j´avais déjà ma conception savante et imposante de la peinture en tant qu’une passion et recherche perpétuelle. Mon esthétique des formes et ma vision des choses rendent la peinture narrative une trace indélébile de la mémoire à travers les impressions de voyage et les scènes éloquentes de la condition humaine. Interférence des mémoires, mon travail artistique demeure une vision nostalgique du monde qui nous révèle la force symbolique des choses à partir d’une longue élaboration néo figurative : une cartographie des racines qui témoigne de la maîtrise acquise dans le domaine de la matière picturale gérée avec tant de passion, d’abnégation et de spiritualité. Ma peinture se veut un acte de valoriser les espaces féeriques de ce pays idéal et ce monde passionnant voire éloquent : Il s’agit d’une reconnaissance à l’égard de cette terre spirituelle à travers la couleur et la lumière. La nature pour l’artiste est un paradis terrestre. L’art pictural est universel comme la musique. Il renforce la communication entre les nations et les pays dans une conjoncture menacée par les guerres et la violence.».
Susanne a dans son actif plusieurs expositions individuelles et collectives dont le Maroc est sa muse et sa source d’inspiration. Elle a exposé, avec brio et habilité , ses œuvres picturales sous le signe « rendez-vous entre les deux cultures : suédoise et marocaine » à la Galerie Rääf à Stockholm. Les actes de la cérémonie de cette exposition ont été rehaussés par la présence effective de l’ambassadrice de la Suède au Maroc Anna Hammargren qui a encouragé l’artiste pour assurer la durabilité du dialogue interculturel entre les deux pays comme ambassadrice culturelle. Susanne a participé aussi à l’exposition internationale organisée par l’Association « Création et Communication » sous le signe « les mains qui voient» à Casablanca. Elle a pris part à la quatrième édition du Biennale d’Architecture de Venise et au 71ème Festival du Cinéma ainsi qu’à la Régata historique pour représenter le Maroc sous le signe : « Venise-Casablanca : Rencontre entre artistes ». Dans le cadre de « la nuit des ateliers » à Agadir, Susanne a animé chez elle l’atelier « Action Painting » et elle a été parmi les artistes exposants en parallèle à l’Institut Français d’Agadir.

Ahmed Tarek

Photo: Henrik Zetterström

 

 

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