- L’ASMEX a reçu, le 22 mars, la Cheffe du Bureau de Liaison d’Israël au Maroc, Madame
Alona Fisher Kamm, pour renforcer les échanges commerciaux entre les deux pays. - Israël vise un partenariat économique avec le Maroc de l’ordre de 500 millions de
dollars. - Un partenariat sera conclu prochainement entre l’ASMEX et la Fédération des chambres
de commerce israélienne.
Casablanca, 23 janvier 2023
Le 22 mars 2023, Madame Alona Fisher Kamm, Cheffe du bureau de liaison d’Israël au Maroc,
accompagnée de Mme Netiva Cukor, conseillère économique, a été accueillie par le Président
de l’ASMEX, Monsieur Hassan Sentissi El Idrissi. Cette rencontre avait pour objectif de
renforcer les échanges commerciaux et les relations bilatérales entre les deux pays, suite à la
mission B2B organisée à Tel-Aviv en février-mars 2023 en partenariat avec l’AMDIE, qui avait
connu un grand succès avec plus de 75 Rdv B2B organisés au siège de la fédération des
chambres de commerce israélienne.
La Cheffe du bureau de liaison d’Israël a exprimé la volonté de son pays de renforcer le
partenariat économique et commercial avec le Maroc, en se focalisant dans un premier temps
sur trois secteurs prioritaires : l’Agroalimentaire et l’agriculture, le médical et la santé, et la
chimie et parachimie. Une importante délégation israélienne participera également au Salon
International de l’Agriculture au Maroc en mai 2023.
Afin de maximiser l’organisation des missions d’affaires, un accord de partenariat sera conclu
prochainement entre l’ASMEX et la Fédération des chambres de commerce israéliennes pour
assurer un rapprochement des hommes d’affaires des deux pays. Des actions structurées
seront également mises en place pour accompagner les opérateurs économiques intéressés
des deux marchés, notamment la création de joint-venture pour aborder d’autres marchés et
la création d’une commission conjointe de facilitation et de simplification des procédures.
Cependant, les deux parties ont également mis l’accent sur les principaux axes d’amélioration
de cette synergie fructueuse, tels que les taux élevés des droits de douane à l’entrée du
marché israélien, les exigences en matière de labellisation casher et d’autres réglementations
à l’import, ainsi que l’absence de lignes aériennes directes dédiées principalement au fret de
produits périssables.