Facebook a décidé de bannir dès la semaine prochaine toute « apologie » ou « soutien » aux thèses suprémacistes blanches.
« Ces concepts sont profondément liés à des organisations qui font la promotion de la haine », a affirmé Facebook dans un communiqué.
Cette annonce intervient au lendemain des attentats dans deux mosquées de Christchurch, en Nouvelle-Zélande, dont l’auteur a diffusé les images en direct sur le réseau social.
« Désormais, les gens auront toujours le droit de montrer leur fierté dans leur héritage ethnique, mais nous ne tolérerons plus l’apologie ou le soutien au nationalisme blanc et au séparatisme blanc », précise le groupe