Le Maroc a ainsi amélioré son score de 3 points dans ce classement, publié mardi par Transparency international, passant de 40points/100 en 2017 à 43/100 en 2018, affirme la même source, faisant savoir que le Royaume figure au top 10 mondial des pays ayant le plus progressé dans ce classement.
Selon Transparency international, le Maroc occupe le premier rang à l’échelle maghrébine, ex-aequo avec la Tunisie, et pointe à la 6ème place au niveau arabe et à la 9ème position à l’échelle africaine. Le classement du Royaume dépasse les moyennes des groupes de pays dont il fait partie, souligne le communiqué.
Cette amélioration du classement dans l’IPC est le fruit d’une série de mesures prises par le gouvernement, dont l’adoption de la loi sur le droit d’accès à l’information qui a permis au Maroc d’intégrer le Partenariat pour un gouvernement ouvert (OGP), un réseau multipartite de gouvernements et d’ONGs engagés dans la lutte contre la corruption, note le département du Chef du gouvernement.
L’IPC classe 180 pays en fonction de leur niveau perçu de corruption, en attribuant à chacun un score allant de zéro signifiant “fortement corrompu” à 100 “très peu corrompu”.
La moyenne générale de l’IPC 2018 est estimée à 34 points/100 dans les pays arabes, à 39/100 dans la région MENA et à 32/100 dans les pays subsahariens, relève le communiqué.
MAP
